Pourquoi opter pour du co-wash ?

Depuis des années déjà, beaucoup pointent du doigt tous les problèmes capillaires liés à un usage modéré ou intensif de shampoing. Si la solution est de se laver rarement les cheveux pour les uns (une fois par semaine), pour d’autres, il est devenu impératif de trouver une alternative plus saine à ce produit capillaire très populaire. C’est là qu’est né le mouvement « no-poo ».
Le co-wash fait partie des alternatives trouvées pour se passer du shampoing. L’usage de l’après-shampoing favorise l’hydratation des cheveux. Il permet d’obtenir des boucles parfaites pour certains types de cheveux. Pour d’autres, on se débarrasse enfin de cette crinière desséchée et rêche.

Comment bien réaliser son cowash ?

Vous procédez au cowash comme vous procéderiez au lavage habituel de votre chevelure avec du shampoing :
• commencez par mouiller tous vos cheveux,
• essorez-les un peu si c’est trop trempé,
• séparez vos cheveux en 4 parties égales maintenant (étape nécessaire pour les cheveux longs surtout, mais étape facultative pour les personnes à cheveux courts),
• appliquez à quantité égale et généreusement l’après-shampoing sur la totalité de vos cheveux,
• répartissez le produit sur votre tête en la massant grâce à un peigne démêlant ou d’une brosse spécialement dédiée à cet effet,
• laissez agir entre 5 et 20 minutes ou rincez abondamment à l’eau tiède directement.
Ensuite, vous faites votre routine de soins capillaires normale après cette séance.
Quant à sa fréquence, il est préférable de l’effectuer en alternance avec du shampoing doux deux ou trois fois par semaine.

Quel produit choisir pour un co-washing réussi ?

Ce n’est pas tant la pratique en soi qui garantit une bonne hydratation de vos cheveux, mais le produit choisi. Dans ce sens, il est impératif d’opter pour un après-shampoing spécial co-washing aux extraits d’éléments naturels. Il doit être dépourvu de sulfate et de produits chimiques qui risqueraient d’abîmer vos cheveux. Un après-shampoing normal fera également l’affaire à condition qu’il soit naturel à plus de 90 %.